Hypocalcémie (fièvre vitulaire, fièvre de lait, parésie puerpérale,tétanie puerpérale)
jeudi 10 mars 2016
Posted by:
amine1991
Hypocalcémie (fièvre vitulaire, « fièvre de lait », parésie puerpérale,tétanie puerpérale)
Signes cliniques : une hypocalcérnie survient typiquement chez les vaches plus âgées immédiatement avant ou après le vêlage. Les premiers signes incluent une hyperesthésie et une excitabilité accrue. Ensuite, les animaux affectés sont incapables de se relever en raison de leur manque de force musculaire et du dysfonctionnement neurologique. Notez également le prolapsus du sphincter anal (du à une accumulation de fèces dans le rectum et à la pression intra-abdorninale accrue), le léger météorisme du
rumen (atonie ruminale) et la courbure typique en S du cou.
On pense qu'il s'agit d'une réponse « d'auto-redressement », l'animal tentant d'éviter un décubitus latéral complet. Certaines vaches affectées sont couchées avec la tête posée sur le flanc.
Diagnostic différentiel : mammite ou métrite toxique, hémorragie périparturn, traumatisme sévère des membres postérieurs ou paralysie bilatérale des nerfs obturateurs.
Traitement et prévention: injection intra-veineuse lente de 400 ml de borogluconate de calcium à 40%, éventuellement associée à une solution de magnésium et de phosphore. Le calcium peut également être administré par injection sous-cutanée. pour prévenir cette maladie, les vaches ne doivent pas être trop grasses au moment du vêlage et l'alimentation doit être bien maitrisée pendant la période de transition. Eviter les rations riches en potassium et en calcium (vaches à l'herbage) et apporter des fibres longues et une alimentation avec un bon équilibre cation/anion .
Signes cliniques : une hypocalcérnie survient typiquement chez les vaches plus âgées immédiatement avant ou après le vêlage. Les premiers signes incluent une hyperesthésie et une excitabilité accrue. Ensuite, les animaux affectés sont incapables de se relever en raison de leur manque de force musculaire et du dysfonctionnement neurologique. Notez également le prolapsus du sphincter anal (du à une accumulation de fèces dans le rectum et à la pression intra-abdorninale accrue), le léger météorisme du
rumen (atonie ruminale) et la courbure typique en S du cou.
On pense qu'il s'agit d'une réponse « d'auto-redressement », l'animal tentant d'éviter un décubitus latéral complet. Certaines vaches affectées sont couchées avec la tête posée sur le flanc.
Diagnostic différentiel : mammite ou métrite toxique, hémorragie périparturn, traumatisme sévère des membres postérieurs ou paralysie bilatérale des nerfs obturateurs.
Traitement et prévention: injection intra-veineuse lente de 400 ml de borogluconate de calcium à 40%, éventuellement associée à une solution de magnésium et de phosphore. Le calcium peut également être administré par injection sous-cutanée. pour prévenir cette maladie, les vaches ne doivent pas être trop grasses au moment du vêlage et l'alimentation doit être bien maitrisée pendant la période de transition. Eviter les rations riches en potassium et en calcium (vaches à l'herbage) et apporter des fibres longues et une alimentation avec un bon équilibre cation/anion .
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